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On adore bouger, découvrir de nouveaux coins, se perdre dans des ruelles inconnues… Mais parfois, en voyage, on se prend une claque. On réalise que notre présence, même bien intentionnée, peut avoir un impact énorme, pas toujours positif.

C’est ce qu’on a ressenti à Venise et Zanzibar. Le surtourisme, ce truc qui semble loin, mais qui est bien réel. Et en tant que touristes, on fait parti du problème.

Et si on parlait de comment voyager sans tout casser ?

Le Surtourisme, c’est quoi ?

Imaginez votre ville préférée, mais avec 10 fois plus de monde. Des rues bondées, des prix qui flambent, des locaux qui en ont marre… C’est ça, le surtourisme. En gros, c’est quand il y a trop de touristes au même endroit, au même moment. Ça crée des problèmes pour l’environnement, pour les gens qui vivent là, et même pour nous, les voyageurs.

Nos Expériences : Venise et Zanzibar, Deux Faces du Même Problème

  • Venise : On y était en mai 2024. Magnifique, bien sûr, mais la foule… On se sentait un peu comme des sardines en boîte. On a trouvé un peu de répit en s’éloignant des sites touristiques et sur l’île de Murano, mais quand même…
  • Zanzibar : Là, c’était différent, mais tout aussi frappant. Les locaux qui te sollicitent sans arrêt, la misère à deux pas des hôtels de luxe, la chasse aux dauphins, des tortues enfermées… Bref, un voyage qui nous a marqué et qui nous a permis de prendre conscience que nous devions voyager mieux.

Les Conséquences, Pour Eux et Pour Nous

Le surtourisme, ça fait des dégâts :

  • Pour la planète : Des déchets partout, des sites naturels abîmés, des ressources épuisées.
  • Pour les locaux : Des loyers qui explosent, des traditions qui disparaissent, un ras-le-bol général.
  • Pour nous, les voyageurs : Des expériences moins authentiques, des prix plus élevés, un sentiment de culpabilité.

Venise, Italie

Safari en Tanzanie

Alors, On Fait Quoi ?

  • On sort des sentiers battus : Il y a plein d’endroits magnifiques, moins connus, qui méritent le détour.
  • On voyage hors saison : Moins de monde, des prix plus doux, une meilleure expérience.
  • On soutient l’économie locale : On mange dans des petits restos, on achète des souvenirs faits main, on dort chez l’habitant.
  • On respecte les lieux et les gens : On ne laisse pas de traces, on apprend quelques mots de la langue locale, on s’intéresse à la culture.

Conclusion

Voyager, c’est génial, mais il faut le faire intelligemment. On peut tous faire notre part pour un tourisme plus durable, plus respectueux. Et vous, quelles sont vos astuces pour éviter les foules ?

Je suis persuadée qu’on peut tous voyager autrement, à notre échelle. Sur Voyager Mieux, je mêle conseils pratiques et récits de terrain, pour inspirer sans culpabiliser.

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